Il est apparu dans une destination de hockey non traditionnelle sur la Côte d’Azur à l’été 2019. Son contrat terminé à Vsetín, il a décidé quoi faire ensuite. « J’attendais qu’il vienne. Entre autres, il y avait une offre de Nice. J’ai aimé l’opportunité de jouer la première ligue en bord de mer. Je ne savais pas dans quoi je m’embarquais, mais au final on a giflé Je ne suis certainement pas désolé, je suis très heureux ici », a déclaré Kopta, qui a remporté la Ligue junior américaine avec le Texas Tornado. Il a également joué dans l’une des trois ligues juniors canadiennes d’élite.
Les gens de la célèbre station balnéaire se rendent beaucoup moins à la salle que ceux des clubs basés dans l’arrière-pays français. « La plupart des Niçois ne connaissent pas grand-chose au hockey. Il y a une ligue de football, de basket, de handball, de rugby, de hockey et il reste peu de supporters. Ils sont environ un millier à venir chez nous. A Grenoble, Angers, Amiens, Rouen, six mille viendront », note Kopta.
Les conditions pour le hockey seraient de niveau professionnel à Nice, mais elles sont tout de même plus modestes par rapport aux grands clubs français. « La ligne de rééducation, c’est en fait la mer. Mais encore une fois, jouer au hockey en bord de mer… Cela compensera d’autres choses. Il pleut souvent dans le nord de la France, il fait froid, il fait beau à Nice », précise l’attaquant.
Quel est le niveau du championnat de France
Lorsqu’il est libre, il fait connaissance avec les environs de Nice. Il s’est rendu à plusieurs reprises à proximité de Monaco, devait voir la légendaire gendarmerie de Saint-Tropez. « Et je vais aussi dans les collines adjacentes. Les villages qui s’y trouvent sont magnifiques, ils ont une vue magique sur la mer. Ce n’est qu’à quelques minutes en bus », explique Kopta, qui est souvent confronté à la question du niveau de la plus haute compétition de France de la part d’amis et des connaissances.
« Je n’y perdrai certainement pas de hockey. Les cinq premières équipes joueraient la super ligue supplémentaire tchèque. La compétition est bonne, ce n’est pas facile d’y arriver. En France, il est permis d’avoir dix étrangers dans l’équipe, le la compétition est énorme. Il y a principalement des Canadiens et des Finlandais, plus plusieurs Tchèques. Ces joueurs font la ligue », explique l’ancien représentant de la jeunesse, membre de la colonie tchéco-slovaque de Nice.
« Dans la cabine, Tchèques et Slovaques se parlent en anglais. Ce serait mieux de parler français, mais c’est fou. Même après trois ans. Au Canada, j’ai appris la langue rapidement, mais je pense que je ne sais pas. quoi que ce soit en français », avoue le joueur de 26 ans, qui a réussi un triplé en duel avec Briançon il y a une semaine. Il a inscrit 41 buts et réalisé 40 passes décisives en championnat de France. de s’étendre sur la Côte d’Azur ou de revenir dans la ligue supplémentaire tchèque ?
« J’ai un contrat à Nice pour la saison prochaine. Il y aurait un retour, mais tout est compliqué. La table valorise le travail en République tchèque. J’appartiens toujours à Hradec Králové, si je voulais aller dans un autre club tchèque, je Il faudrait que Hradec verse une indemnité de départ à Hradec. Je ne veux pas y retourner à tout prix. Comme je l’ai dit, je ne perdrai certainement pas le hockey en France », conclut Kopta.
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