Je sais ce que je ne veux pas, mais je ne sais pas ce que je veux – ou comment ne pas réussir dans le trading

La base du succès et de l’échec est le cadre de notre esprit. Les gagnants peuvent aussi être ceux qui sont « en apparence » dans la position du perdant, car ils sont capables de tirer le meilleur d’une situation donnée. Vous apprendrez comment réaliser l’introspection dans le développement personnel dans cet article.

Dans l’article d’aujourd’hui, nous discuterons de l’un des clichés de pensée les plus répandus qui place de nombreuses personnes dans des obstacles insurmontables sur la voie de leurs objectifs, tandis que d’autres, à cause de cette façon de penser, ne s’engagent même pas sur la voie du succès. Il s’agira de l’orientation de l’esprit vers le succès et de l’orientation de l’esprit vers la défaite. Bien sûr, à la fin de l’article, nous montrerons comment utiliser les connaissances générales directement dans le trading. Allons-y.

Où est l’esprit orienté?

Je voudrais juste vous rappeler d’emblée qu’il ne s’agit pas d’une soi-disant « pensée positive », car si vous avez l’esprit tourné vers le succès, vous pouvez tirer le meilleur parti même d’une question apparemment négative. Lorsque l’esprit est concentré sur le succès, il est totalement inutile de diviser entre le bien et le mal.

L’orientation de l’esprit humain est très facile à reconnaître en conversant avec soi-même ou en parlant à quelqu’un qui peut percevoir ces différences. Un exemple est la réponse à la question: « que voulez-vous pour le déjeuner? ». La réponse peut venir, par exemple, sous la forme : « Je voudrais un steak » ou elle peut être répondue dans le style de « principalement pas d’aneth ». À partir de cet exemple, il est clair où l’esprit du répondant est orienté.

Un autre exemple d’orientation de l’esprit est l’exemple très souvent mentionné avec le stationnement. Si le conducteur pense que le parking sera plein, alors le parking sera effectivement plein. Mais s’il est toujours convaincu que la meilleure place de parking devant sa maison/entrée l’attend, il peut s’attendre à ce qu’une telle place de parking l’attende réellement dans la plupart des cas, même si la dernière est disponible.

Orientation de l’esprit dans le trading

Une personne qui n’a pas peur de l’introspection et qui s’intéresse au développement peut, sur la base des exemples donnés ci-dessus, commencer à ajuster sa propre pensée.

Son orientation mentale joue également un rôle très important dans le trading. Les implications de ce problème tournent souvent autour de l’accès aux stop-loss et aux pertes en général. Si, lors d’une position de trading ouverte, un trader se dit : « ne soyons pas un autre panneau d’arrêt », non seulement son esprit est focalisé sur l’échec, mais il manipule également son propre esprit par la généralisation, avec le mot « suivant ». Que pourrait-il se passer d’autre dans un tel cas que le fait que le trader reçoive effectivement un stop-loss ?

Une question très courante des personnes qui pourraient vouloir travailler sur elles-mêmes, mais pour une raison quelconque, elles ne peuvent pas commencer car elles ne peuvent pas imaginer comment elles devraient changer leur perception, ou ici plus précisément l’orientation de leur esprit. Le problème dans ce cas est la logique. Ces personnes sont trop logiques et trop analytiques. L’inconvénient de cette approche est qu’elle n’est pas capable de travailler avec des actions abstraites, ce qui est sans aucun doute un travail avec l’esprit. La logique est l’ennemi du travail sur lui-même, car l’esprit travaille sur la base de processus quantiques plutôt que sur des connexions logiques A-> B et donc où la personne logique ne voit qu’une ou deux solutions possibles là où la solution est infinie.

Dans le prochain article, nous montrerons une technique utilisée par les artistes pour améliorer l’intuition et faire passer l’esprit de la pensée logique à la pensée intuitive, ce qui les aide à ressentir davantage l’objet d’intérêt et ainsi améliorer la qualité de l’œuvre d’art résultante. .

Merci pour la lecture,

Martin Klass

Nihel Beranger

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