Il fait partie du « Collection Guikas« Une série de voitures spéciales de la société française du même nom qui, depuis plus de trente ans, s’occupe de la vente de voitures anciennes. Les véhicules ont été vendus aux enchères par RM Sotheby’s sans prix de réserve, dans le circuit Paul Ricard, où les personnes présentes ont pu assister au défilé de quelques-uns des plus représentatifs.
« La vente aux enchères de la collection Guikas a vendu 100 % des 87 lots intéressants comprenant des voitures, des bateaux et des souvenirs, pour un total de près de 40 millions de l’euro. Le cadre splendide du circuit Paul Ricard a permis aux clients de vivre une expérience unique : voir quelques-unes des voitures de course et de route conduites sur la piste lors de la vente aux enchères. La collection Guikas a atteint l’un des le total les plus hautes ventes de l’histoire des enchères automobiles européennes et RM Sotheby’s est fier d’avoir réalisé une vente historique ». Alors il a commenté Jarrett Rothmeier, vice-président principal des ventes privées et des services financiers de RM Sotheby’s.
Certes, le plus désiré était le Ferrari 250 GT Berlinetta Competizione Pinin Farina de 1955, l’un des modèles les plus réussis parmi les premiers introduits par le Cavallino, vendu pour un chiffre de 5 500 000 euros. La voiture est l’un des six prototypes construits et représente l’ancêtre du « Tour de France », né pour courir les dix jours de compétition. Présentée au salon de Turin en 1955, elle a été restaurée par Ferrari en 1977 et certifiée par Ferrari Classiche.
Un chiffre record également pour le Ferrari 250 GT Cabriolet de 1958, noir avec intérieur en cuir turquoise, l’un des 40 exemplaires construits à avoir atteint l’altitude 3.925.000 euros. Un autre produit Maranello décerné à 1 900 000 euros, et le 275 GTB de 1965: un spécimen modifié pour la course et l’un des 24 modèles de course « nez court » de l’époque.
Un exemple élégant d’une voiture française d’avant-guerre est la Delage D8 S Cabriolet de 1933 à petite allure. Dans sa peinture noir/violet avec intérieur bois et cuir noir, elle s’est vendue 750 000 euros. En plus des classiques, des voitures de sport qui ont parcouru les pistes internationales ont également été vendues aux enchères, comme la Ferrari 575 GTC 2005, l’une des dernières voitures de course V12 construites par Ferrari, vendue 2 350 000 euros. Là Renault-Alpine A442, qui a permis à l’écurie Renault de remporter son premier titre au Mans, a atteint les deux millions.
Pas seulement les voitures, les Bateau à moteur Miura, propulsé par deux moteurs Lamborghini V12 de 720 chevaux. Produit par le constructeur Cantieri Uniti Viareggio a remporté le championnat du monde en 1984, grâce également au poids réduit de 360 kg par moteur. Inspiré du design du Riva Aquarama de Ferruccio Lamborghini, il a été acheté pour 60 000 euros.
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