Alckmin, qui a récemment quitté le PSDB et reste sans acronyme, est en tête du sondage avec 28% des intentions de vote pour prendre la place de son ancien coreligionnaire, le gouverneur João Doria (PSDB), suivi par Haddad (19%), la France ( 13 %) et Guilherme Boulos (PSOL, 10 %).
Le ministre Tarcísio Gomes de Freitas (pas de parti), nom testé par le président Jair Bolsonaro, apparaît avec 5% des intentions de vote, suivi d’Arthur do Val (Patriota, 2%). Vinicius Poit (Novo) et Abraham Weintraub (pas de parti) apparaissent tous les deux avec 1%. Les blancs et les nuls totalisent 16%, et 4% n’avaient pas d’opinion.
Ce scénario n’inclut pas le vice-gouverneur Rodrigo Garcia (PSDB). Selon l’enquête, lorsque l’enquête a commencé, Alckmin était encore au PSDB et l’institut n’oppose pas deux noms avec le même acronyme.
Dans un deuxième scénario, Alckmin est censé quitter la course, mais França et Boulos restent. Dans ces conditions, l’ancien maire PT arrive en tête avec 28 %, au-dessus des 23 % enregistrés il y a trois mois. La France reste à 19%, Boulos fluctue de 13% à 11%, Tarcisio, de 6% à 7%, Garcia, de 5% à 6%, Arthur do Val, de 5% à 3%, Weintraub, de 2% à 1%, et Poit est à 1%. Les votes blancs et nuls sont de 21 % et 4 % n’ont pas répondu.
Dans le troisième scénario testé par Datafolha, un accord est simulé dans lequel Alckmin et Haddad quittent la course, en supposant que l’ancien maire se présente au Sénat.
Dans cette partie de l’enquête, l’ancien gouverneur França occupe la position de leader avec les mêmes 28% de rivaux, suivi de Guilherme Boulos avec 18%. Tarcisio (9 %) renoue avec Garcia (8 %), Arthur do Val prend 4 %, Weintraub 2 % et Poit 1 %. Les votes blancs et nuls sont de 25 % et 5 % n’ont pas répondu.
Datafolha a entendu 2 034 électeurs du 13 au 16 décembre, dans 70 communes de l’Etat. La marge d’erreur est de plus ou moins deux points de pourcentage.
“Coffee addict. Lifelong alcohol fanatic. Typical travel expert. Prone to bouts of apathy. Internet pioneer.”