Festival du film : Nouveau film d’Indiana Jones avec Harrison Ford à Cannes – Divertissement

Il a été abattu neuf fois – mais il vit

C’est super que « Indiana Jones », réalisé pour la première fois par James Mangold, reprenne une de ses marques de fabrique, à savoir : dès les premières minutes, il y a des scènes d’action tellement folles qu’on est immédiatement aspiré par l’histoire. Tout d’abord, Indiana est presque pendu par les nazis jusqu’à ce qu’une bombe alliée frappe leur camp. Lors de l’évasion spectaculaire, l’archéologue se bat alors sur une moto en marche et sur un train qui claque.

Au début de « Indiana Jones et la roue du destin », on parle beaucoup d’allemand – également par Mikkelsen avec un joli accent. « Ils sont allemands, ils n’ont pas besoin d’essayer d’être drôles », plaisante Jones à un moment donné.

Le rôle de Waller-Bridge a réussi à moderniser la série de manière subtile. Helena est différente des personnages féminins précédents d’Indiana Jones. Pas seulement intelligent, combatif et un peu criminel. Mais aussi drôle : Parfois, elle décrit Jones comme un « voleur de tombes vieillissant », à d’autres moments, elle certifie que son chapeau fédora légendaire le rajeunit d’au moins deux ans.

Mais certaines choses sont restées les mêmes à ce jour. Le premier film « Indiana Jones » est sorti en 1981. Même alors, le héros combattait déjà les nazis. « Raiders of the Lost Ark » a remporté plusieurs Oscars et est devenu un incroyable succès financier. Les suites de 1984 et 1989 ont également séduit le public. « Indiana Jones » est devenu un phénomène culte avec son héros d’aventure espiègle, qui a toujours eu la courbe. (Au fait, la quatrième partie, publiée en 2008, a également été créée à Cannes.)

Il a été abattu neuf fois au fil du temps, explique « Indy » Helena dans le nouveau film. Mais à la fin, il parvient toujours mystérieusement à survivre. Dans « Indiana Jones et la roue du destin », il garde une horde d’adversaires armés en échec avec juste son fouet. Des objets pointus transpercent le mur et manquent son corps de quelques millimètres. Il résiste indemne aux chutes d’un mètre de profondeur. Tout est redevenu comme il se doit.

Nihel Beranger

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