Il n’est pas nouveau que la France veuille préserver la pureté de sa langue et éliminer de l’usage courant les termes dérivés de l’anglais depuis des années et des décennies. Médecin au lieu d’ordinateur est probablement l’exemple le plus connu ici. Mais la liste des mots « interdits » est constamment mise à jour et ainsi de suite Gardiens signalé, hier, il y avait une mise à jour complète du ministère français de la Culture. Les gardiens de la langue ciblent actuellement des termes provenant des secteurs d’Internet et des jeux.
Flux ne va plus
Certains termes sont des traductions directes : Pro-gamer devient « joueur professionnel » en français. D’autres termes, en revanche, sont assez tirés par les cheveux : Streamer, par exemple – et il faut souffler un peu plus – devient « joueur-animateur en direct », qu’on peut traduire directement par « live player moderator ».
Autres exemples de mots et termes désormais interdits du point de vue des autorités responsables : « Cloud Gaming » se traduit par « jeu video en nuage » et E-Sports se traduit par « jeu video de competition ». Les deux sont des traductions directes, quoique quelque peu maladroites, du terme anglais respectif. L’arrière-plan des efforts des gardiens de la langue française sont des arguments selon lesquels le secteur des jeux regorge de mots qui « constituent un obstacle à la compréhension » pour les non-joueurs. Bien sûr, le gouvernement ne peut pas dicter ces mots à la société et à la scène du jeu, du moins pas avec des conséquences ultimes. Cependant, ces nouveaux mandats sont désormais obligatoires pour les employés du gouvernement et les autres fonctionnaires.
“Coffee addict. Lifelong alcohol fanatic. Typical travel expert. Prone to bouts of apathy. Internet pioneer.”