La règle du hors-jeu, en attendant une révision obligatoire

Que s’est-il passé hier soir à la fin de la Ligue des nations dans le mouvement controversé qui a conduit à but de la victoire français, reflète la nécessité de revoir la règle 11 hors-jeu des règles du jeu IFAB (International Board).

Comme Mundo Deportivo l’a appris, il y a des personnes au sein de la structure d’arbitrage de l’UEFA qui ont été avertissement sur la complexité de cette norme. Plus précisément dans des actions comme celle d’hier avec le Barça Eric Garcia.

Il y a des personnes au sein de la structure d’arbitrage de l’UEFA qui mettent en garde depuis un certain temps sur la complexité de cette règle

Le principe de la norme ne fait aucun doute. Il établit textuellement comme hors-jeu « au moment où le ballon touche ou est joué (le premier point de contact au moment de jouer ou de toucher le ballon) par un coéquipier s’il participe activement au jeu de l’une des manières suivantes :

1 • gêner le jeu, jouer ou toucher un ballon passé ou touché par un coéquipier ;

2 • interférer avec le jeu d’un adversaire de l’une des manières suivantes :

A-empêcher le ballon de jouer ou de pouvoir jouer, en obstruant clairement le champ de vision de l’adversaire ;

• difficile pour le ballon ;

• tenter clairement de jouer une balle à proximité par une action qui touche un adversaire ;

• entreprendre une action qui affecte clairement la capacité d’un adversaire à jouer le ballon ».

La règle dit aussi qu’il est hors-jeu :

« • profiter de ladite position en jouant le ballon ou en interférant avec le jeu d’un adversaire lorsque le ballon :

• a été dévié ou rebondi sur un poteau, la barre transversale, un membre de l’équipe arbitrale ou un adversaire ;

• a été ‘sauvé’ par un adversaire ”.

Mais la clé de la controverse réside dans le texte suivant et auquel Taylor se félicite lorsqu’il a validé l’objectif :

« Un joueur en position de hors-jeu est réputé ne pas avoir profité de cette position lorsqu’il reçoit le ballon d’un adversaire qui jouer volontairement le ballon, y compris la main volontaire, A moins que ce ne soit une « sauvegarde » par un adversaire.

UNE « enregistré»Est-ce une action d’un joueur dont le but est arrêter ou dévier le ballon, ou tenter de l’arrêter ou de le dévier, quand cela entre direction au but O très proche d’elle avec n’importe quelle partie du corps sauf avec les mains ou les bras (à moins que ce ne soit le gardien de but dans sa propre surface de réparation) ».

S’il est clair que la notion de « sauvé » est écartée, il existe des sources d’arbitrage consultées qui préconisent cette changement dans le texte précédent. Parce que des pièces comme celles d’hier clarifient ce vide : est-ce que vous Eric Garcia veut jouer le ballon? Ne le ferait-il pas parce qu’il voit la position de Mbappé, alors que l’attaquant du PSG s’immisce déjà clairement, en plus de profiter de sa position de hors-jeu initiale ?

Il est Compétence IFAB auquel il correspond de traiter toute modification des règles du jeu. Organisation où se trouvent les plus hauts responsables de l’arbitrage. Commencer par l’italien Pier Luigi Collina, le plus haut responsable de l’arbitrage de la FIFA. À côté de lui se trouve également l’arbitre de la FIFA et ancien arbitre Maximo Busacca. Les deux font partie du sous-comité technique.

Mais il y a aussi le président des arbitres de l’UEFA, Roberto Rosetti. L’ancien arbitre italien fait partie du comité consultatif technique.

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Nihel Béranger

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