L’automne dernier, la municipalité de Winterthour a présenté un rapport d’enquête sur les raisons de deux suicides au sein de la police. Le conseil municipal a présenté le rapport aux médias, mais n’a pas souhaité le rendre public.
Le « Landbote » a alors demandé accès au rapport de 95 pages sur la base de la loi sur l’information publique et a eu raison. Le conseil de district a forcé le conseil municipal à publier le rapport sur la culture du leadership hiérarchique et le harcèlement.
Le « Landbote » a alors reçu le rapport. Il contenait de nombreuses zones occultées pour protéger les personnes. La ville a désormais facturé au journal 450 francs pour cette anonymisation, comme l’a écrit le journal dans son article de vendredi sur le reportage.
En principe, l’accès à l’information devrait être gratuit, conformément à la loi sur l’information publique. L’autorité ne peut facturer des « frais raisonnables » que si le traitement de la demande implique « des efforts considérables » et « est disproportionné par rapport à l’intérêt public ».
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