Le néocourtier étoffe ainsi son tour de table de série C. L’argent provient, entre autres, de l’investisseur existant Ontario Teachers’.

En mai de l’année dernière, Trade Republic a clôturé un énorme tour de financement de près de 740 millions d’euros. Le néocourtier a désormais étoffé la série C de 250 millions d’euros. Cela fait passer la valorisation de la start-up de 4,4 à cinq milliards d’euros.

L’argent provient d’investisseurs existants et d’Ontario Teachers’, un fonds de pension de plus de 333 000 enseignants en Ontario, au Canada. Le fonds gère plus de 240 milliards de dollars canadiens d’actifs nets investis dans le monde. « Avec Ontario Teachers’, nous avons à nos côtés l’une des principales caisses de retraite au monde dans notre mission de permettre aux gens de participer à la croissance à long terme de l’économie », a déclaré Christian Hecker, cofondateur de Trade Republic. « Nous sommes en pleine transformation des systèmes de retraite en Europe. Ce financement nous aidera à investir encore plus dans la technologie et les produits qui permettent à des millions d’Européens de faire fructifier leur argent.»

Christian Hecker, Thomas Pischke et Marco Cancellieri ont fondé Trade Republic à Berlin en 2015. La start-up propose un néo-courtier avec lequel les utilisateurs peuvent investir dans des actions, des ETF et des crypto-monnaies et créer des plans d’épargne sans commission. Outre l’Allemagne, Trade Republic est désormais également active en Autriche, en France, en Espagne, en Italie et aux Pays-Bas et compte plus d’un million de clients.