Bien que nous soyons généralement habitués à nous faire une idée de la niveau économique de la personne selon le quartier dans lequel elle vit, la vérité est qu’à plus d’une occasion, nous pouvons avoir une surprise inattendue. Parfois, la clé réside dans ce que nous recherchons lorsque nous naviguons sur Internet. Et, aussi surprenant que cela puisse paraître, la vérité est qu’il existe un moyen de le prouver.
Une étude scientifique à laquelle ils ont participé plusieurs espagnols a mené cette recherche en France, en vérifiant les recherches effectuées sur Internet par les appareils mobiles il y a quatre ans. Ils ne savent pas qui l’a recherché, mais plutôt l’endroit où il a été fouillé, et c’est précisément ce qui leur permet de savoir de première main s’il existe un schéma entre les recherches et le niveau économique des zones.
Et oui, il y a. Le modèle en question compose l’étude a analysé plus de 3,7 milliards signaux, qui leur ont permis d’approfondir certains détails qui peuvent aussi être des indicateurs du niveau de revenu et des études dans d’autres pays. Pour l’instant, cette première étude a été un grand succès et pourrait être transférée à d’autres pays à l’avenir.
Presse et réseaux sociaux, des versions opposées
Certains indicateurs qui prédisent sur la base des algorithmes effectués sont très curieux. Par exemple, ces personnes qui d’autre a lu les nouvelles ils ont souvent un niveau d’instruction et un revenu plus élevés. Dans cette première catégorie, il y a aussi ceux qui utilisent fréquemment l’App Store, Instagram, email ou WhatsApp. Il est également très frappant que le jeu vidéo Clash of Clans soit inclus ici.
En ce qui concerne niveau moyen l’éducation et les revenus, certains aspects se démarquent comme les jeux vidéo, les vidéos en direct qui sont réalisées sur des plateformes par Instagram ou le commerce en ligne. Enfin, les niveaux d’éducation et de revenus les plus bas se retrouvent, selon cette recherche, sur certaines plateformes comme le jeu vidéo Candy Crush, Twitter, et les plus bas de toutes, Facebook.
A défaut d’extension de l’étude à davantage de pays pour corroborer si ces données sont générales ou uniquement spécifiques dans le cas de la France, notre pays a des raisons Pour être heureux, puisque la « marque Espagne » est déjà scellée dans une enquête qui a fait place à une nouvelle façon d’enquêter jusqu’à présent inédite et qui promet de continuer à révolutionner le monde dans les années à venir.
“Coffee addict. Lifelong alcohol fanatic. Typical travel expert. Prone to bouts of apathy. Internet pioneer.”