Après avoir libéré les territoires actuels de l’Argentine, du Chili et du Pérou et sa démission dans ce dernier, San Martín a décidé d’entreprendre une exil volontaire. A cette époque, les tensions avec Simón Bolívar étaient évidentes et c’est alors que San Martín décide de se retirer, dans le but de ouvrir la voie à la liberté tant attendue. Chose qui ne sera réalisée qu’en 1824, après avoir vaincu les royalistes dans les champs d’Ayacucho.
C’est ainsi qu’après son retour à Buenos Aires, en février 1824, embarqué avec sa fille Mercedes Sur le bateau Le Bayonnais destination La France.
À la fin de 1824, il se dirigea vers Bruxelles, où il s’installe à la périphérie de la ville tandis que sa fille Mercedes Il entre dans un pensionnat pour jeunes filles.
La vie de Saint Martin en exil était caractérisé par simplicité et humilitéComme il n’avait que les deux années de pension que le gouvernement péruvien lui avait accordées pour ses services, sa situation frôlait la pauvreté. Dans une lettre envoyée à ses amis, il raconte qu’il vivait dans une vieille maison avec des fuites et beaucoup d’humidité.
À situation économique son état de Santé La polyarthrite rhumatoïde qui l’affligeait depuis longtemps est aggravée par ces mauvaises conditions de vie. C’est pourquoi, en janvier 1828, il décide de se rendre à Aix-la-Chapelle pour un traitement aux eaux thermales.
Forcé par les circonstances, San Martín a dû retourner au Provinces-Unies du Río de la Plata au 1829 pour effectuer une série de procédures liées aux propriétés qu’il possédait à Buenos Aires, Mendoza et au Chili. Sous le nom de José Matorral il embarque sur le paquebot Conttes de Chicheter. A son arrivée, la scène politique n’est pas des plus sympathiques et au large de Buenos Aires il prend conscience des disputes entre unitaire et fédéral.
Après avoir effectué les démarches correspondantes, San Martín est de retour en Europe et il s’installa en France, près de Paris, où il louerait une maison rue de Provence.
Au cours des années 1930, la situation politique en Europe n’était pas non plus caractérisée par la stabilité. Les monarques de l’Empire d’Autriche, du Royaume de Prusse et de l’Empire de Russie avaient formé la Sainte Alliance pour lutter contre le libéralisme politique.
A cette époque, San Martín rencontre un ancien compagnon d’armes : Alejandro Aguado et Ramirez, et portait le titre de Marqués de las Marismas de Guadalquivir, qu’il avait rencontré pendant son temps dans l’armée espagnole qui a combattu dans les guerres napoléoniennes. Possédant une fortune considérable qu’il avait amassée au sein de l’activité bancaire, il aidait le Libérateur tant moralement que financièrement.
Au 1832, Don José et sa fille sont victimes de la colère pendant l’épidémie qui a balayé l’Europe. Les deux survivent, et vers la fin de la même année, le mariage entre sa fille et Mariano Balcarce, fils d’Antonio González Balcarce, ami du héros. Les fruits de cette relation sont nés Maria Mercedes et Josefa Dominga.
Pendant sa vieillesse, San Martín a passé ses journées à vivre une vie calme et détendue avec ses petites-filles. Ses plats préférés étaient le maté et l’asado. Il s’occupait principalement de son jardin, de l’équitation et de la lecture. Il s’occupait aussi de ses vêtements de façon personnelle.
Plus tard, il est devenu propriétaire de deux maisons en France. Un dans Grand-bourg et un autre dans Paris; dans le premier il a vécu et dans le second il a passé ses étés. Au début de 1848, éclate le mouvement révolutionnaire qui instaure la IIe République en France. C’est alors qu’il décide de s’installer provisoirement avec sa famille dans la ville portuaire de Boulogne-sur-Mer.
Finalement, Samedi 17 août 1850Après avoir passé la matinée sur le canapé, il a eu froid et a demandé à sa fille de l’emmener au lit. Souffrant d’une douleur intense au ventre, à deux heures de l’après-midi, son passage à l’immortalité a eu lieu.
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