« Je suis médecin, j’ai un diplôme de troisième cycle en médecine du sport et en endocrinologie. J’insiste sur le fait que je ne mettrais jamais, jamais en danger la santé d’un patient. Tous ceux qui me connaissent savent comment je travaille », a-t-il déclaré.

Miyashiro a été arrêté lundi dernier (9) après la découverte d’un chargement de produits à l’intérieur de la clinique où il travaillait, mais il a obtenu devant la Cour de justice de São Paulo (TJ-SP) le droit de répondre en toute liberté pour un crime contre la santé publique.

Dans la déclaration, le médecin dit que, le jour de l’inspection, il travaillait régulièrement au bureau. « La chose la plus importante que je veux clarifier : aucun des médicaments trouvés par l’inspection n’a été fourni ou administré à mes patients de manière irrégulière », a-t-il déclaré.

Il s’est également dit à la disposition des autorités policières, des patients et du conseil de classe pour toutes explications nécessaires.

« Les critiques qu’ils font viennent de ces gens qui n’ont jamais mis les pieds dans mon bureau, ne me connaissent pas et ne savent pas comment je travaille. »

Selon la police, un patient du médecin a acheté des produits mais n’a remarqué aucune différence dans son corps ou dans les tests de laboratoire effectués après utilisation. En conséquence, il a fait des recherches sur la substance et a découvert que le lot avait été retiré du commerce en raison d’un défaut.

De plus, il a été informé par l’entreprise qu’une partie de la cargaison avait été volée à l’intérieur de l’établissement.

Le patient a alors déposé une plainte auprès de l’Agence nationale de surveillance de la santé (Anvisa), à Brasília (DF), qui a transmis le cas à Anvisa à São Paulo et a appelé la police civile pour ouvrir une enquête.

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