L'Assemblée nationale française a adopté deux lois controversées pour lutter contre les rumeurs et les fausses déclarations lors des campagnes électorales. En dernière lecture, la Chambre du Parlement a voté à une nette majorité en faveur des plans du président Emmanuel Macron pour lutter contre les fausses nouvelles. Les critiques mettent en garde contre les restrictions liberté d'expression et de la censure.
Les lois stipulent que les partis ou les candidats peuvent prendre des mesures urgentes contre les mensonges diffusés publiquement avec l'aide d'un juge dans les trois mois précédant une élection nationale. De plus, les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter pour être plus transparents lors de la distribution de contenu contre paiement.
Macron avait annoncé la « vie démocratique » en France pour se protéger des fausses nouvelles. Lors de la campagne électorale présidentielle, le chef de l'État a accusé des médias russes tels que RT et Spoutnik de diffuser délibérément des spéculations à son sujet afin d'influencer la campagne électorale.
Les critiques considèrent ces lois comme une tentative de Macron d’empêcher les informations indésirables. Ils mettent en garde contre la « censure » et contre une « muselière » pour les médias et les citoyens. Les organisations de journalistes ont également critiqué ces lois.
Le Sénat français avait rejeté les projets de loi et n'avait même pas autorisé leur débat. Mais c'est l'Assemblée nationale qui a eu le dernier mot.
L'Assemblée nationale française a adopté deux lois controversées pour lutter contre les rumeurs et les fausses déclarations lors des campagnes électorales. En dernière lecture, la chambre parlementaire a voté à une nette majorité en faveur des plans du président Emmanuel Macron pour lutter contre les fausses nouvelles. Les critiques mettent en garde contre une restriction de liberté d'expression et de la censure.
Les lois prévoient que les partis ou les candidats peuvent prendre des mesures contre les contrevérités diffusées publiquement avec l'aide d'un juge dans les trois mois précédant une élection nationale. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter pour être plus transparents lors de la distribution de contenu contre paiement.
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