Pandémie, si la nouvelle normalité ressemble au monde d’avant

Les pandémie changé le monde mais n’a pas changé radicalement les attitudes et les points de vue de l’opinion publique dans les différents pays. Les données proviennent de Étude sur les tendances mondiales 2021 d’Ipsos, qui enquête sur vingt-cinq nations, Italie incluant le sentiment sur de nombreuses questions, allant des économies matures aux économies émergentes et incluant des contextes jamais sondés auparavant (Kenya, Nigeria).

Il y a eu un gros choc et les conséquences seront à long terme, cependant les sondages réalisés renvoient un tableau dans lequel ils sont largement confirmés attitudes prépandémiques, parfois avec une légère augmentation d’intensité. Là nouvelle normalitéÉtrange mais vrai, c’est assez semblable au monde d’avant, dit le rapport, qui souligne que je facteurs de continuité avec le passé dans de nombreux domaines (mais aussi certains changements physiologiques).

Un certain cohérence se place sur le devant de l’attention à la santé, au changement climatique, aux incertitudes et aux inégalités mais aussi sur l’importance de l’authenticité des valeurs des marques et des entreprises. Une certaine discontinuité, cependant peut être vu à l’horizon et cela concerne les attitudes vis-à-vis des données et de la vie en/hors ligne et d’un éventuel nouvel équilibre entre local et global. 2022 est proche, mais avec quelles attentes des millions de personnes dans le monde y feront-ils face ? Voici les principaux points forts du studio Ipsos.

Changement climatique et environnement

Dans la période pré-pandémique, le la question climatique était beaucoup plus conflictuelle, aujourd’hui c’est moins le cas, car la prise de conscience de l’ampleur du problème s’accroît. De plus, en moyenne générale, la part de ceux qui pensent que les entreprises respectent l’environnement est majoritaire c’est plus important l’exactitude de la même chose envers les autorités fiscales. Dans Italie 53% de l’échantillon interrogé rejoint ce sentiment : un pourcentage plus faible par rapport à celui d’autres pays comme la Colombie, le Brésil, le Chili et le Mexique, et plus proche des valeurs trouvées en France, au Danemark, en Grande-Bretagne, démontrant la différence entre nations et économies.

Données et technologies

Facebook & co.? Hanno trop de puissance. C’est la vision générale, qui confirme le sentiment de 2019 et le renforce avec des pourcentages de croissance faible (ou moyenne) dans tous les pays de l’échantillon. En Italie en 2019, 75 % des personnes interrogées soutenaient cette hypothèse, en 2021 80 %. L’augmentation la plus notable est enregistrée en Chine (67 contre 83) et en Indonésie (84 contre 97).

Plus apathique, cependant, en général, le vision sur les données : l’idée qu’il est inévitable de perdre la vie privée au nom du progrès technologique est ancrée dans différents domaines. Dans Grande-Bretagne, France et Allemagne le pourcentage de ceux qui pensent que les gens se soucient trop de la confidentialité en ligne et de ce que les entreprises et les gouvernements peuvent savoir augmente (dans les trois pays, plus de 30 % augmente). Évidemment, le pourcentage de ceux qui s’inquiètent continue de prévaloir, mais il est intéressant de noter que celui de ceux qui s’inquiètent augmente ne se sent pas mal à l’aise. Bref, le dilemme des données devient une sorte de vie tranquille en échange d’autres avantages.

Faire confiance à la science

Les ces deux dernières années a renforcé la confiance dans la science, confirmant une tendance déjà amorcée. Dans différents pays, une moyenne de 60% de l’échantillon pense que dans un avenir proche, toutes les maladies ou conditions médicales seront curables. L’optimisme est particulièrement élevé dans les pays émergents. En Italie, par rapport à 2013, le chiffre augmente et passe, en huit ans, de 46 à 54 %.

Réaction aux changements

La pandémie a généré des changements rapides et inattendus et des millions de personnes ont en fait connu des conditions nouvelles et sans précédent, des blocages au travail à distance. La capacité de s’adapter rapidement aux chocs restera-t-elle élevée même dans le monde post-pandémique ? 67% des Italiens le croient mais – bien qu’étant un pourcentage important – c’est l’un des plus bas de l’échantillon, et nous place en dernière position avec la Russie et le Japon.

Affaires et gros problèmes

Les grands enjeux politiques et sociaux divisent souvent mais comment doivent se comporter les dirigeants de l’économie et donc les protagonistes de l’entreprise ? Doivent-ils s’exposer sur les enjeux les plus pertinents pour la vie d’un pays ? Il est logique de demander, étant donné que le la réussite des entreprises se construit aussi ailleurs que dans le monde d’avant, dans les entreprises physiques e en ligne. En Italie, 53 % des personnes interrogées s’accordent à dire que les chefs d’entreprise professent des idées sur les grands enjeux nationaux mais ce n’est pas un pourcentage très élevé par rapport à celui de pays comme le Nigeria, les Philippines, Singapour, l’Inde : enjeux de sujets ou ont-ils quelque chose à faire avec elle d’autres attitudes, par exemple culturel et démographique?

Nihel Beranger

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