biographie et histoire de ses découvertes

Maria Salomea Sklodowska, mieux connue sous le nom de Marie Curie était une personne importante Physique, chimie et mathématiques polonaises, naturalisé français. Brillant, austère et perfectionniste mais, en même temps, fragile et plein de rêves, le scientifique deux fois prix Nobel il a passé sa vie à se consacrer à la science, à mener des batailles personnelles et à défier les préjugés de toutes sortes.


Découvrez ci-dessous l’histoire de cette femme aux multiples facettes, qui a contribué à écrire l’histoire et qui a laissé une marque indélébile, devenant un exemple à suivre.

Biographie de Marie Curie

La biographie de Marie Curie se caractérise paramour de la connaissance. Elle est née le 7 novembre 1867 à Varsovie dans une famille catholique et est la cadette de cinq enfants. A seulement sept ans un deuil il affecte profondément sa famille, enlevant sa sœur Zosia et, quelques années plus tard, en 1878, sa mère Bronislawa meurt également. Les deux pertes laissent une marque indélébile sur la jeune Marie, qui développe une caractère réfléchi et tendant à la tristesse.

Marie commence ses études avec le père, professeur de mathématiques et de physique, les poursuivant plus tard à Varsovie. La Pologne russe n’ayant pas permis aux femmes d’accéder à l’enseignement supérieur, la jeune Marie pacte avec sa soeur Bronya: travaillera comme femme de ménage pour subvenir aux besoins de sa sœur aînée étudiant la médecine à Paris et, après l’obtention de son diplôme, elle devra rendre la pareille.

La vie en France et les années Sorbonne

L’échange a payé et, à l’âge de 24 ans, la jeune fille arrive à Paris et commence sa propre études à la Sorbonne. Les années en France ne sont pas faciles du tout, Marie Curie vit pratiquement de la misère mais, son obsession des études la conduit à prendre le licence en physique et mathématiques dans les trois ans. Le plan pour l’avenir est d’obtenir son diplôme d’enseignant et de retourner à Varsovie.

Pour faire avancer sa carrière et joindre les deux bouts, Marie en obtient un Bourse d’études à l’Université sur la façon de tracer les propriétés magnétiques de divers aciers. C’est précisément dans cette période qu’il entre dans sa vie Pierre Curie. Le physicien expert des lois du magnétisme est un scientifique de renommée internationale, un outsider plus intéressé par la recherche que par les diplômes académiques et prestigieux. Il gagne sa vie comme chef de laboratoire à l’École de physique et de chimie industrielle de Paris.

L’amour avec Pierre Curie

Pierre devient un ami proche du scientifique et les deux s’embrassent très fort relation fondée sur la recherche, l’étude et l’entraide. L’amour naît entre les deux, mais la jeune scientifique ne se permet aucune distraction : son objectif est d’obtenir son diplôme et de retourner en Pologne et ce ne sera certainement pas un homme pour la faire changer d’avis. Mais Pierre est même prêt à la suivre à Varsovie, c’est pourquoi elle capitule et accepte de l’épouser. Le couple se marie en France, à Sceaux, en 1895, recevant en cadeau deux vélos avec lesquels ils décident de partir pour une tournée de trois mois à travers l’Europe.

Malgré le mariage, Marie décide qu’elle veut toujours garder son indépendance, c’est pourquoi elle choisit de ne pas abandonner complètement son nom de famille, se faisant appeler Marie Curie Sklodowska. Tout au long de sa vie, il sera toujours un femme émancipée, engagée à rechercher l’épanouissement personnel dans son travail. Pierre comprend parfaitement la valeur centrale que la science a dans la vie de Marie et les deux commencent un ‘existence en symbiose, dédié au travail et voué à l’isolement.

La découverte de la radioactivité

À 30 ans, Marie Curie donne naissance à une fille, commençant à noter toutes les données sur son développement, comme s’il s’agissait d’une véritable expérience. Après avoir confié la petite fille à son père, elle se concentre alors sur une œuvre presque oubliée d’Henri Becquerel, qui en 1896 se rend compte que sels d’uranium ils émettaient des rayons capables d’impressionner une plaque photographique, sans aucun besoin de lumière solaire.

La scientifique décide d’étudier le phénomène de plus près, à l’aide d’un instrument conçu et perfectionné par son mari Pierre : leélectromètre, capable de mesurer des courants électriques faibles. Commence alors unanalyse systématique de l’uranium dans différents composés et dans différentes conditions qui conduira à une conclusion extraordinaire : la propriété atomique de l’élément uranium, qui ne peut être modifiée par aucun procédé chimique, est d’émettre radiation. Une propriété que Marie appellera radioactivité.

Polonium et radium

D’autres mesures scrupuleuses révéleront le fait que non seulement l’uranium et ses composés sont radioactifs, mais aussi le thorium et une autre matière première qui les contient tous les deux : le pechblenda. C’est décidément plus radioactif que ne le justifient les quantités d’uranium et de thorium qu’il contient, il ne doit donc y avoir qu’une autre explication possible : probablement à l’intérieur il y a un autre composant radioactif, encore inconnu.

En effet, en 1898, les Curie écrivaient qu’ils avaient identifié une substance 300 fois plus active que l’uranium : « Nous pensons que la substance que nous avons extraite de la pechblende contient un métal jamais identifié auparavant… nous proposons de l’appeler polonium, du nom du pays d’origine de l’un d’entre nous ». La même année, les Curie informent l’Académie des sciences qu’ils ont fait une autre découverte : une substance avec une radioactivité 900 fois supérieure à celle de l’uranium : le radio.

Recherche approfondie

Les découvertes faites nécessitent des recherches plus poussées. Concrètement, la question à laquelle il faut maintenant répondre est la suivante : quelle est la poids atomique de nouveaux éléments ? Pour y répondre, il faudra cependant disposer de grandes quantités de pechblende et d’un lieu adapté pour la travailler. Après plusieurs refus, les Curie parviennent à obtenir un hangar abandonné non loin du laboratoire, qui sera l’épicentre d’une ère heureuse et productive.

A l’intérieur de l’installation Marie Curie, immergée dans les fumées radioactives des minéraux, elle s’occupera de la séparation chimique des distillats, en remuant des marmites pleines de kilos de matière pendant des heures. Après quatre années de travail épuisant, le scientifique parvient à obtenir le poids atomique presque exact du radium 225 (comme on le sait aujourd’hui il est de 226).

En attendant, son mari Pierre commence à comprendre les différentes potentiel de la substance dans le domaine médical mais, en même temps, aussi les répercussions possibles sur la santé, commençant à accuser de plus en plus de douleurs dans les os.

Le prix Nobel de physique

Le prix le plus prestigieux arrive en 1903 : le Prix ​​Nobel de physique pour la recherche sur les phénomènes radioactifs. Un événement qui va arracher le couple à sa condition d’isolement, le catapultant au centre de l’attention médiatique. Pierre et Marie décident de ne pas breveter la découverte, convaincus que le radium est un élément précieux qui sera utile à la société. Le choix fait de l’élément le plus recherché dans les domaines médical et industriel.

La mort de Pierre Curie

Le 19 avril 1906, Pierre Curie perd la vie en traversant la rue, heurté par un char près du Pont Neuf. La tragédie laisse la scientifique seule avec ses deux filles de 9 et 2 ans. A 38 ans la femme hérite de la chaire de son mari et devient le première enseignante à la Sorbonne. La perte la fait pourtant se retrancher dans le silence et Marie se réfugie dans le seul endroit dont personne ne pourra la sortir : le laboratoire.

En 1911 le selon Nobel pour la découverte du radium et du polonium. Une récompense obtenue à travers de nombreuses aventures. L’histoire d’amour que le scientifique avait entreprise avec Paul Langevin, un homme marié avec quatre enfants, l’amène au centre d’un grand scandale, mettant votre candidature en danger. Malgré les attaques incessantes, l’Académie décide d’attribuer le prix à Marie, l’invitant toutefois à ne pas participer à la cérémonie. Une invitation totalement ignorée par le scientifique, réticent à obéir aux commandements des hommes.

La Première Guerre mondiale et les dernières années

Pendant le Première Guerre mondiale, Marie a opéré champs de bataille comme radiologue. Il rend possible les investigations radiologiques et participe à la formation des techniciens et infirmiers. A la fin de la guerre, elle devient active au sein de la Commission internationale de coopération intellectuelle de la Société des Nations afin d’améliorer les conditions de travail des scientifiques.

En 1909, il fonda l’Institut du radium à Paris, connu aujourd’hui sous le nom d’Institut Curie et, en 1932, un institut similaire à Varsovie. Pendant quelques années, il poursuit ses recherches à la radio, passant ensuite le relais à sa fille Irène et à son gendre Frédéric qui ont pu découvrir le radioactivité artificielle alors que Marie était encore en vie. Un sérieux l’anémie aplasique elle l’a frappée dans les dernières années de sa vie, certainement causée par la longue exposition aux radiations qui ignorait totalement le danger à l’époque.

Il est mort dans un sanatorium de Étapes en Haute-Savoie, 4 juillet 1934. Aujourd’hui encore, toutes les notes des découvertes de Marie Curie et même ses livres de cuisine sont considérées comme dangereuses en raison de la radioactivité qu’elles émanent. Ils sont conservés dans un endroit spécial boîtes plombées et toute personne souhaitant les consulter doit porter des vêtements de protection et être consciente qu’elle le fait « à ses risques et périls ».

Nihel Beranger

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