Le Royaume-Uni voit des signes de déclin du nombre d’infections à l’omicron dans une partie du pays | Revue nationale

Au Royaume-Uni, les chiffres indiquent que l’épidémie d’omicron est entrée dans une phase de déclin.

Le ministre britannique de la Santé reconnaît que les hôpitaux restent sous pression, mais voit ce qu’il a appelé des « signes encourageants » d’une baisse des infections. Le pic de contamination par l’omicron a eu lieu le 5 janvier et il semble prendre du retard. Le niveau des cas quotidiens est encore élevé, mais la tendance est clairement à la baisse.

Ce vendredi (14), le nombre de nouveaux cas quotidiens était inférieur à 100 000 pour les premiers depuis le 21 décembre. Le gouvernement envisage déjà de suspendre l’obligation d’un certificat de vaccination pour entrer dans certains lieux en janvier.

L’amélioration du scénario a déjà amené la France à assouplir les règles pour ceux qui arrivent du Royaume-Uni. Il n’est désormais plus nécessaire de fournir un motif particulier de déplacement. Un Britannique a acheté un billet dès que la règle a été levée. Il est heureux de pouvoir aller en France skier avec des amis et profiter d’une dégustation de vin.

Cette reprise précoce a incité le Premier ministre du Pays de Galles, l’une des nations qui composent le Royaume-Uni, à annoncer qu’il assouplira les restrictions dans les deux prochaines semaines. L’une des premières mesures sera le retour du public aux événements sportifs en milieu ouvert, comme les matchs de rugby. Le gouvernement local affirme qu’il est désormais possible d’envisager l’avenir avec plus de confiance grâce au succès de la campagne de rappel.

Les autorités britanniques soulignent également que le nombre de patients dans les unités de soins intensifs est resté faible. Ce n’est pas seulement au Royaume-Uni que l’omicron montre des signes qu’il peut être une nuisance pendant moins de temps que les autres variantes. À ce stade, il est essentiel de se pencher également sur l’Afrique du Sud – le premier pays à détecter le micron.

Le 24 novembre 2021, les infections ont commencé à monter en flèche. Le pic a été atteint 23 jours plus tard, le 17 décembre. Depuis, le taux de contamination a chuté. En moins d’un mois, il a chuté de près de 75 %.

Bien sûr, ce calcul ne sera pas répété dans tous les pays ; Cela dépend de beaucoup de facteurs et de mesures. Mais cela donne une idée de combien de temps ce nouveau stress qui est le nôtre peut durer.

Nihel Beranger

“Coffee addict. Lifelong alcohol fanatic. Typical travel expert. Prone to bouts of apathy. Internet pioneer.”

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *